Le candidat de Fédération Canada est qualifié et atteindra ses objectifs en matière d’économie pour le Canada. Pourquoi?
Parce que M. Shamis compte plus de 30 ans d’expérience en gestion de patrimoine, gestion de projet et gestion financière, et se spécialise dans les investissements visant la construction de nations et les stratégies de développement.
Parce que M. Shamis apporte une expérience concrète et une excellente compréhension de la gestion de projets d’infrastructures, du développement économique et de l’importance de la technologie et d’une main-d’œuvre solide et qualifiée répondant à des normes universelles.
Parce que M. Shamis mettait officiellement en 2006 la touche finale à l’achat de la Banque Laurentienne du Canada en vue d’attirer de nouveaux investissements au Canada et d’établir une banque axée sur les entrepreneurs pour les petites et moyennes entreprises canadiennes.
Parce que M. Shamis compte une expérience significative en développement économique à l’étranger, dans d’importants pays à marché émergent comme la Malaisie, l’Ukraine, la Grèce , et la Croatie.
Nous devons comprendre l’économie mondiale en développement et la façon dont elle touche chaque Canadien et chaque Canadienne. Nous sommes laissés de côté en raison de politiques opaques datant d’une ère révolue d’après-guerre.
Il sera nécessaire d’adopter une approche nouvelle et différente si nous souhaitons faire croître notre économie et améliorer le bien-être de nos citoyens. Il nous faudra une approche inclusive, et non une approche fondée sur les sanctions et l’injustice. Fédération Canada offrirait à chaque citoyen canadien et à chaque citoyenne canadienne l’occasion de rapatrier au Canada ses actifs depuis des investissements ou des banques à l’étranger, afin que ces fonds puissent être investis dans des entreprises et du développement.
Ces fonds ne seront pas imposés et leur propriétaire ne sera pas pénalisé, tant qu’il choisira de les investir dans des projets d’affaires, de développement ou d’infrastructures avec des organismes provinciaux ou fédéraux.
Tout au long de sa carrière professionnelle, M. Shamis s’est occupé de gestion du patrimoine au sein du système bancaire européen. Malgré des différences d’approche, l’objectif de la communauté financière internationale demeure le même : créer, bâtir et maintenir de la richesse. Ces années d’expérience ont donné à M. Shamis des bases solides en matière de principes économiques qu’il utilisera pour stabiliser et bâtir une économie canadienne durable.
Il a dû redoubler d’efforts dans les marchés émergents de certains pays qui n’avaient jusqu’à récemment que peu ou pas du tout de main-d’œuvre qualifiée. Les alliances stratégiques de M. Shamis ont amené ses partenaires à travailler ensemble pour partager des connaissances et des habiletés afin d’encourager l’émergence d’une main-d’œuvre locale qualifiée.
Certains de ces partenariats ont été noués entre des pays qui ont regroupé leurs efforts pour investir et permettre à des projets comme des barrages hydroélectriques, des ponts et des aménagements immobiliers à usage mixte de voir le jour. Certaines de ces superstructures à grande échelle destinées aux entreprises, aux résidences, à l’hôtellerie et au secteur du divertissement et des services ont permis la création de milliers d’emplois et stimulé l’économie locale en y injectant des revenus durables.
En 2006, M. Shamis souhaitait importer certaines de ces stratégies d’investissement et de renforcement de l’économie au Canada lorsqu’il a tenté d’acheter la Banque Laurentienne.Bien qu’il bénéficiait initialement du soutien du gouvernement pour y parvenir, l’entente venait avec des conditions contraignantes qui limitaient la capacité de la nouvelle structure bancaire de fonctionner en tant que société bancaire entrepreneuriale.
Avec Fédération Canada, les banques seront davantage axées sur les citoyens-entrepreneurs. En réduisant les profits des grandes banques pour miser plutôt sur des styles de gestion du patrimoine qui permettent à l’économie de croître du bas vers le haut, Fédération Canada souhaite redéfinir un système dans lequel les profits sont actuellement canalisés vers le 1 % le plus riche.