Le candidat de Fédération Canada est qualifié et atteindra ses objectifs en matière de sécurité pour le Canada. Pourquoi?
Parce que M. Shamis compte plus de 30 ans d’expérience en matière d’enjeux et de mandats de sécurité au sein de la communauté financière internationale.
Parce que M. Shamis comprend la nature changeante des menaces de sécurité et a établi des partenariats avec des dirigeants du secteur de la technologie mondiale qui mettent en œuvre des mesures de sécurité à la fine pointe de la technologie en matière d’immigration, de sécurité des frontières, de cybersécurité et de gestion des menaces.
Parce que M. Shamis reconnaît la nécessité de changer fondamentalement la perspective canadienne sur la cybersécurité et de mettre en œuvre des techniques avancées qui assureront une meilleure protection des systèmes et des citoyens.
Parce que M. Shamis sait qu’aucune croissance durable n’est possible sans assurer la sécurité de notre pays et de ses citoyens et citoyennes.
Le grand enjeu du 21e siècle pour tous les pays est la sécurité de leurs citoyens et de leurs citoyennes. Il ne s’agit pas seulement d’une question de protection et de sécurité personnelles, mais bien davantage de cybersécurité et de protection de notre empreinte et de notre identité numériques. L’enjeu de la sécurité s’étend aujourd’hui à la cybersécurité des infrastructures et des réseaux qui soutiennent notre production d’énergie, nos services bancaires, nos établissements (hôpitaux, écoles), nos voies navigables, nos réseaux de transport et notre système d’intervention en cas de crise.
En cette ère de piratage, de vols d’identité, de fonds et de services et de tactiques de prises en otage de réseaux, notre vigilance doit être plus aiguisée que jamais. Nos méthodes de protection doivent être tournées vers l’avenir et anticiper les actions des cyberterroristes et des menaces internationales. Nous devons nouer des partenariats solides avec des acteurs de la scène technologique qui sont prêts, disposés et aptes à assurer la cyberprotection de notre pays.
Le terrorisme change de visage et de stratégies, et le Canada doit prendre les devants en utilisant la technologie à son service et en misant sur les avancées qu’elle permet. La traite de personnes est devenue une véritable crise en elle-même. Le trafic sexuel et de personnes a été défini par le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme (HCNUDH) comme un processus lors duquel des personnes sont placées ou maintenues dans une situation d’exploitation pour des gains économiques.
« Selon les estimations de la Walk Free Foundation et I’OIT, 25 millions de personnes ont vécu des travaux forcés et une exploitation sexuelle en 2016 à travers le monde. Le rapport mondial de 2016 de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime montre que 51 % des victimes étaient des femmes, 21 % des hommes, 20 % des filles et 8 % des garçons. Parmi ces victimes, 45 % ont été l’objet d’une traite à des fins sexuelles, et 38 % ont été soumises à des travaux forcés. Dans les dernières années, la traite a prospéré parmi les populations vivant ou fuyant des situations de conflits. » Ces données proviennent du HCNUDH.